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Peut-on reprendre un médicament déjà prescrit ?

Suite à une prescription de la part d'un médecin pour soigner une pathologie, nous somme tentés de reprendre ...

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Le maquereau un véritable allié pour la santé cardio-vasculaire :

La teneur en oméga-3 du maquereau fait de lui un véritable allié pour la santé cardio-vasculaire....

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Une prise de poids trop importante pendant la grossesse

Vous êtes résolu à améliorer votre alimentation pour prendre soin de votre santé ?

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Peut-on reprendre un médicament déjà prescrit ? :


Suite à une prescription de la part d'un médecin pour soigner une pathologie, nous somme tentés de reprendre le même traitement si l'on retombe malade. Ce n'est peut-être pas une si bonne idée.

Tout dépend du contexte. S'il s'agit de reprendre le traitement prescrit par son homéopathe, aucun danger. De même quand l'éventualité d'une récidive a été prévue par le médecin et qu'il a préconisé à l'avance de renouveler le traitement dans des circonstances bien définies. C'est souvent le cas dans le cadre d'une affection chronique, comme l'asthme ou l'allergie, ou encore en cas de mycoses ou de cystites à répétition, par exemple.

Par contre, puiser de son propre chef dans le reliquat inutilisé d'ordonnances antérieures s'avère plus problématique. S'il s'agit de médicaments à prescription facultative auxquels on a l'habitude de recourir face à certains symptômes récurrents, pourquoi pas ? « Encore faut-il être certain que la maladie est bien la même, met en garde Philippe Liebermann, pharmacien. Et vérifier que les produits ne sont pas périmés. »

En revanche, des médicaments à prescription obligatoire ne devraient jamais entrer dans le champ de l'automédication. À garder en tête avant de piocher dans son stock.



Le maquereau un véritable allié pour la santé cardio-vasculaire :


La teneur en oméga-3 du maquereau fait de lui un véritable allié pour la santé cardio-vasculaire. Avec 1,2 g d’oméga-3 à chaîne longue (l’AEP et l’ADH) pour une portion de 100 g, le maquereau fournit à l’organisme plus de 2 fois l’apport en AEP et ADH recommandé par jour par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Plusieurs études1 ont démontré que la consommation d’acides gras oméga-3 réduit le risque de souffrir de maladies cardio-vasculaires. Ces acides gras, en agissant sur l’élasticité des vaisseaux, la tension et en ayant des propriétés anti-inflammatoires, permettent de lutter contre la formation de caillots sanguins. Le maquereau a des vertus antioxydants car il est riche en sélénium.

Ce minéral prévient la formation de radicaux libres dans l’organisme. L’excès de radicaux libres contribue à l’apparition de maladies cardio-vasculaires car ils détériorent notamment les globules rouges.


Obésité : une forte prise de poids durant la grossesse augmenterait les risques :

Si certaines jeunes mamans réussissent à perdre très vite les kilos en trop de la grossesse, d'autres n'ont pas cette chance. Un excès de poids durant la grossesse perdure à vie. Telle est la conclusion assez tranchante de chercheurs de la Columbia University's Mailman School of Public Health de New-York (États-Unis), publiée le 21 octobre dans The American Journal of Clinical Nutrition.

Risque d'obésité accru de 400 % 7 ans plus tard

Les scientifiques ont utilisé les données de plus de 300 mères afro-américaines et dominicaines ayant participé à l'étude Columbia Center for Children's Environmental Health Mothers and Newborns, menée entre 1998 et 2013.

Le profil de ces femmes avait été retenues car elles présentaient un risque de surpoids ou d'obésité. Avant d'être enceintes, 5 % d'entre elles étaient trop minces, 53 % normales, 20 % en surpoids et 22 % obèses. Pendant la grossesse, 64 % des volontaires ont dépassé la limite du poids recommandé et 38 % étaient obèses 7 ans plus tard.

Parmi les femmes qui n'étaient pas obèses avant la grossesse, celles ayant pris trop de poids enceintes présentaient un risque d'obésité augmenté de près de 400 %, sept ans après l'accouchement. Des effets encore plus marqués chez les femmes de poids normal et en insuffisance pondérale avant la grossesse.

Femmes de poids normal : prise de 5,5 kg après 7 ans

L'équipe a démontré qu'une prise de poids importante chez une femme à la corpulence normale était associée à une augmentation de 3 % de la graisse corporelle et d'une prise de 5,5 kg 7 ans plus tard.

"Nos résultats suggèrent que les femmes d'un poids normal et modeste peuvent être plus sensibles sur le plan physiologique aux effets d'une forte prise de poids gestationnelle et donc doivent être plus soutenues pour grossir de façon appropriée durant leur grossesse", explique Elizabeth Widen, co-auteure de l'étude.

Grossesse : 47 % des femmes dépassent les poids recommandés

"L'excès de poids durant la grossesse, s'il est plus important que ce que recommande l'IOM (Institute Of Medicine) a des conséquences à long terme sur les problèmes de santé liés au poids".

Aux États-Unis, l'IOM conseille une prise de poids entre 11 et 15 kg pour une femme de corpulence normale et de 6 à 11 kg chez une femme en surpoids. 47 % des femmes dépassent les recommandations.